La fugue à Bruxelles: suite.

Une histoire belge ?
Une affaire d'état belge ?
Une affaire européenne ?
Une histoire tout court ?

Parfois on pimente ce qu'on mange.

Donc voilà.
Je pense d'être le premier ange non belge à connaître hier tôt, dans la matinée, (merci Google !), la suite de cette malheureuse histoire belge de la faillite de leur système financier. Il parait qu'un petit juge belge (de cour d'appel) a eu le courage à donner raison aux petits actionnaires et à geler à 65 jours la vente de Fortis par l'état belge à BNP Paribas (5 milliards d'euros d'amende si non exécution). On attend calmement une réponse du premier ministre belge pour lundi soir !

Calmement, sans panique. Cela n'empêche que cette histoire, ou plutôt l'histoire tout court, a rattrapé ma fugue à Bruxelles qui risque maintenant de tourner au vinaigre.

A suivre...

La fugue à Bruxelles

Pour une Interview du 11 décembre.

Avec le président en tant que résident.
Avec les 27 qui y sont déjà sa fait 27 + 1 = 28. Le nombre parfait !

Cela démontre que Nuits Blanches Neiges cherche du boulot de temps à autre elle/lui aussi.
Comme on dit, elle/lui tailors her/his job search.

Jeu de mots

Je cite l'un de nombreux avocats d'une des grandes banques françaises dans une affaire du blanchiment d'argents.
"... L'honneur est blanchi... ". Un sacré jeu de mots. Pour être cartésien, je vous signale quant même qu'une bonne partie de la mafia est relaxée (mais non non lieu !!! => donc exit l'espoir d'une future gouvernance de la BCE) tandis que pour une autre - de la tol (prison) ferme.
Pauvre trader peut dormir tranquille !

De votre envoyé spécial:
nuits.blanches.neiges@socgen.com