mercredi 21 septembre 2011

Ponts et passerelles

“Chère amie, Cher ami,”

( 3 réponses à l'article de Dominique de Villepin)
  1. dominique L a dit :

    bravo et merci de votre clairvoyance, de votre dynamisme qui reste intact malgré les obstacles. Il me semble que votre timing soit le bon,et votre stratégie affutée.
    Pour ce qui est de nous autres, gens du peuple, sachez que malgré toutes nos difficultés quotidiennes, nous trouverons toujours un peu de temps et d’energie pour vous soutenir dans ce digne combat. Dites nous maintenant concrètement, où est ce qu’on peut poster les idées. Le temps presse, 2012 va arriver très vite !!

    • Vladimir Trofimov a dit :
      Votre commentaire est en attente de validation.

      Cher Dominique L, cher Dominique. Vous pouvez commencer par VCom. Ensuite Face Book, Google+, etc., etc. Même ici, sur ce blog, ce n’est pas interdit!

      Investissons le terrain partout où c’est possible!

      “…de créer sans cesse de nouvelles passerelles” – ce sera vrai pour une équipe rapprochée de l’ancienne Président de la République Solidaire, ça doit être aussi vrai pour chacun d’entre nous, à chaque niveau, pour chaque entité, pour chaque monade, pour chaque réseau déjà constitué ou à constituer des “bonnes volontés”. Réseaux en veille ou en sommeil. Tous devront participer.

      Oui, des passerelles partout. Elles pousseront parfois vers des véritables ponts de dialogue, de respect mutuel, de la compréhension, de l’intelligence collective et partagée.

      De l’amitié enfin…

  2. DAEL a dit :

    J’avoue ne pas comprendre cette décision. Nous avons adhéré pour le suivre et lui s’en va. Il a sûrement des idées derrière la tête qu’on a du mal à déchiffrer.

  3. Diana a dit :

    Monsieur le Premier ministre, cher Dominique, Merci pour ce message qui nous permet de mieux comprendre ce qui se passe, vos motivations. Oui, vous pouvez compter sur nous, en tout cas sur moi. Nous continuons à vous soutenir et à promouvoir votre combat, vos idées, votre projet. Bon courage, monsieur de Villepin ; prenez soin de vous.

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